Après le succès collosal rencontré par Snow Patrol au milieu des années 2000, le groupe s’est peu à peu éteint, après des débuts assez confidentiels puis un grand « Final Straw » (2003, l’album du succès en Grande-Bretagne), un bon « Open Eyes » (2006, l’album du succès mondial), un mollasson « One Hundred Million Suns » (2008, l’album fatigué) et « Fallen Empires » (2011, l’album de trop) le groupe reviendra le 25 mai avec « Wildness », son premier disque en sept ans.

Bonne ou mauvaise nouvelle? Avec ses gentils couplets à la Ed Sheeran sur le premier extrait dévoilé, « Don’t Give In », nous aurions pour le moment tendance à opter pour la deuxième option, mais nous gardons encore foi en la suite, car nous les avons jadis tant aimés  :

Gary Lightbody dit au sujet de l’album: « Il y a beaucoup de types de sauvagerie (« Wildness »), mais je pense qu’elle peut être séparée en deux: la sauvagerie de l’époque moderne, tout est confusion, illogique et aliénation et une sauvagerie plus ancienne. Quelque chose de primordial, vivant et beau qui parle à notre vraie connectivité, notre passion, notre amour, notre communion avec la nature et l’un l’autre. L’album est centré autour de ce genre de sauvagerie. La perte de celle-ci. Essayer de se s’y reconnecter. Pour s’en souvenir. »

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