Notre dernière chronique de The Cure remonte à novembre 2008, il y a 16 ans, pour la sortie de « 4:13 Dream », un album qui sonnait rétrospectivement comme la fin d’une longue aventure musicale, plaisant mais dispensable au regard de leur carrière. Peut-être est-ce pour cela que Robert Smith a tant reculé avant de sauter des années durant, annonçant à plusieurs reprises – et surtout bien trop tôt – la sortie imminente d’un nouvel opus, à tel point que ce quatorzième album était surtout devenu une arlésienne, une annonce que l’on finit par croire sans lendemain… à tort !
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The Cure annonce un nouvel album !
L'arlésienne qui perdure depuis 16 ans s'apprête enfin à prendre fin. Il y a quelques jours le site officiel de The Cure s'est retrouvé paré d'un nouveau logo et d'un lien pour s'inscrire à leur newsletter. Pas de quoi s'enflammer tant Robert Smith nous avait habitués au fil des ans à annoncer un disque qui ne venait pas et dont nous commencions fortement à douter de l'existence
THE CURE – 4:13 Dream (2008)
C’est devenu une habitude : depuis ‘Wish’, les albums de Cure se succèdent sans faute tous les 4 ans, malgré les déclarations de Robert Smith affirmant à chaque fois qu’il s’agit là du dernier album du groupe. Il semble qu’il se soit aujourd’hui fait une raison, Cure n’est toujours pas prêt de mourir.
THE CURE – Seventeen Seconds (1980)
1980. The Cure, qui n’était alors que l’auteur d’un sympathique album rock (Three Imaginary Boys) mais qui n’avait pas encore réellement trouvé sa véritable direction musicale, va nous offrir un disque qui va littéralement changer la donne à tout jamais, non seulement dans la carrière du groupe, mais de la hiérarchie du rock telle que nous la connaissions.
THE CURE – Three Imaginary Boys (1979)
1979, “trois garçons dans le vent”, mais surtout trois garçons dont on ne sait rien font leur apparition sur la scène rock britannique. Et ce n’est pas la pochette de ce premier album qui lève le mystère.
THE CURE – The Head On The Door (1985)
1985. Après la quasi implosion de Cure survenue à la fin de la tournée Pornography, Robert Smith et les siens se sont peu à peu reconstruits d’abord à deux avec Lol Tolhurst (Japanese Whispers) puis avec l’arrivée de Porl Thompson (The Top). C’est donc un groupe au plus haut de sa forme qui refait surface cette année-là avec le retour de Simon Gallup.
THE CURE – Join The Dots – B-Sides & Rarities 1978-2001 (Coffret 4 CDs – 2004)
Il y a déjà plusieurs années que Robert Smith nous promettait la sortie d'une compilation de faces B et de raretés. Ainsi, après une longue attente, le projet a enfin vu le jour et donné naissance au superbe coffret 'Join The Dots'. Synthèse de 25 ans de carrière, ce box set retrace en 4 CDs les hauts (surtout) et les bas du groupe.
THE CURE – The Cure (2004)
Et voilà...une fois de plus The Cure va faire couler beaucoup d'encre et déchaîner les passions! Personnellement je m'en suis très vite rendu compte en allant voir l'avis des acheteurs du côté d'Amazon ou de la Fnac. Ces avis sont tout sauf neutres.
THE CURE – Bloodflowers (2000)
C’est en l’an 2000 que Robert Smith nous refait le coup du dernier album. Les inquiétudes peuvent planer quant au résultat puisque, à quelques exceptions près, Wild Mood Swings, sorti en 1996, n’était pas une grande réussite et avait déçu beaucoup de fans.
THE CURE – Disintegration (1989)
1989. Pour la première fois Robert Smith nous explique qu’il s’agit du dernier album de The Cure, que l’aventure du groupe arrive à son terme. Fin d’une époque en effet puisque pour la première fois également Lol Tolhurst ne fait officiellement plus partie du groupe.