À huit ans, l’objectif principal de Juliette Richards est de monter un jour sur scène pour imiter les chanteuses qu’elle passe en boucle dans sa chambre. Dix huit ans plus tard elle forme son premier projet personnel sous le nom de White Velvet. Après un petit tour à Liverpool en 2017, au bout d’un an d’exploration et de composition, White Velvet prend forme. C’est un projet autonome et hybride qui pourrait aller du format seule en scène à l’orchestre symphonique. Difficile de dire à quelle branche musicale s’accroche White Velvet car l’influence peut aller de Björk à Andy Shauf en passant par Lana del Rey autant qu’Anna Burch. White Velvet est le commencement d’une aventure nouvelle pour Juliette Richards qui se jette à l’eau pour la première fois sans balise.
« Maybe If I Died » :
Pour enfin mettre une musique sur le nom de White Velvet, un premier titre, “Winter”, et un second, “Don’t Trust The Tide”, sont sortis à l’aube de 2019. Ces chansons font partie d’un premier opus du nom de “Adulthood” paru le 13 septembre 2019, comme un hymne à l’accomplissement de soi, un coup d’œil amoureux sur le temps qui passe.
« Don’t Trust The Tide » :
White Velvet sera en concert le 23 octobre prochain au Supersonic (Paris).
White Velvet – « Adulthood » – EP disponible
Tracklisting :
1. Maybe if I died
2. Fine
3. Don’t Trust The Tide
4. Adulthood
5. Winter
6. Morning Swing
Pour plus d’infos :
https://www.facebook.com/whitevelvetsound/
https://twitter.com/whitevelvetband
https://www.instagram.com/white_velvet_music/