Avouons-le, on était un peu passé à côté l’an dernier, tant il était difficile de suivre le flot incessant des nouveaux groupes Post Punk et New Wave Anglo-Saxons : Bloc Party, Maximo Park, Kaiser Chiefs, etc. Peut-être aussi parce que les Futureheads n’ont pas bénéficié d’autant de couverture en France que certains de les compatriotes, ni même de distribution dans un premier temps, et ce malgré un certain succès d’estime au Royaume-Uni.
Résultats de la recherche: the cure
THE SMASHING PUMPKINS – The Aeroplane Flies High (Box Set – 1996)
A l’heure où nous écrivons ces lignes, les rumeurs de reformation des Smashing Pumpkins – qui allaient bon train depuis un moment – ont été confirmées par Billy Corgan en personne. Au-delà des espoirs et des doutes que cette nouvelle peut susciter, tout cela remémore aux fans combien la formation de Chicago a marqué l’histoire du Rock pendant les années 90 et, plus particulièrement à l’époque de l’album fleuve ‘Mellon Collie And The Infinite Sadness’, l’un des derniers albums double 'monuments' du genre.
GRAND NATIONAL – Kicking The National Habit (2004)
A l’heure où une nouvelle forme de ‘Britpop’ envahit les ondes britanniques et toute l’Europe, on pourrait croire que les groupes anglais ne savent plus nous présenter qu’une seule recette musicale qui fait preuve d’efficacité mais ne laisse guère de place aux adeptes d’une autre approche.
THE ORGAN – Grab That Gun (2005)
“We should put that record on, the one you found when you were gone, the one that has those sad, sad songs, and makes you sing out loud”…ainsi vont les paroles de ‘Basement Band’, l’un des titres du premier album de The Organ. Au travers de ce texte, tout est dit. The Organ, quintet entièrement féminin, fait aujourd’hui revivre avec talent les grandes heures de la Cold Wave.
BILLY CORGAN – The Future Embrace (2005)
Il ne l’avait jamais vraiment caché… Billy Corgan est un enfant des années 80, et le rock des Smashing Pumpkins en découlait naturellement. Et aujourd’hui, après l’explosion des Smashing puis la courte aventure de Zwan, ce dernier prend enfin seul son envol.
THE DRESDEN DOLLS – The Dresden Dolls (2004)
The Dresden Dolls. Un groupe (contrairement aux apparences) originaire de Boston aux Etats-Unis. Alors que la scène indépendante outre-Atlantique aurait plus tendance à donner dans le rock à grosses guitares style émo, ce duo formé en 2001 par Amanda Palmer et Brian Viglione est arrivé tel un cheveu sur la soupe avec un concept musical détonnant : remettre au goût du jour, mais avec une attitude punk, le style cabaret allemand jadis florissant dans les années qui précédèrent la Seconde Guerre Mondiale.
THE SMASHING PUMPKINS – Adore (1998)
L’après ‘Mellon Collie And The Infinite Sadness’ fut une période difficile pour les Smashing Pumpkins. ‘Exit’ Jimmy Chamberlin après le sordide fait divers de la mort dans une chambre d’hôtel par overdose du claviste les accompagnant en tournée. Du coup le groupe ne sera plus jamais vraiment le même. On eut pu croire que la boîte de Pandore fut cassée.
CHARLOTTE HATHERLEY – Grey Will Fade (2004)
Vous ne connaissez peut-être pas Charlotte Hatherley, pourtant nombre d’entre vous l’ont certainement déjà entendue chanter les chœurs sur les titres de Ash. Eh oui, Charlotte, c’est cette jeune guitariste qui a rejoint le groupe irlandais en 1998 sur l’album ‘Nu-Clear Sounds’.
THE KILLS – No Wow (2005)
Un disque pour les fans de rock’n’roll pur et dur, sans fioritures. Deux ans après leur révélation avec leur premier album ‘Keep On Your Mean Side’, les Kills sont de retour. Etape toujours difficile du deuxième album pour un groupe attendu au tournant.
SHEEDUZ – The Barefoot Fairies (EP – 2004)
La bonne surprise de la fin d’année 2004 ? Un grand espoir de ce début d’année 2005 ? Oui, Sheeduz en est un. Ce groupe rock féminin, composé de trois ‘Audrey’ (guitare/basse/batterie) nous offre ce premier 5 titres autoproduit, The Barefoot Fairies, qui épate pas mal par son énergie maîtrisée.