Allez savoir pourquoi, mais ça fait quelques temps qu’on le sentait venir ce nouvel album de Cinerama. Totalement pris par des années de tournée avec les Wedding Present, jouant chaque année un album différent dans son intégralité, David Gedge n’avait plus trouvé le temps de se pencher sur son autre projet, Cinerama, qui a pour particularité de nous offrir une musique différente, inspirée par le cinéma, mais jouée par le même groupe.
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TEMPLES – Oui FM Festival, Place de la République – Paris, mardi 23 juin 2015
WOLF ALICE – My Love Is Cool (2015)
Si vous savez à quel point on l’attendait cet album de Wolf Alice. La raison ? Plusieurs EPs qui se sont succédé au fil des deux dernières années, aussi excitants les uns que les autres. On voyait déjà en eux la relève du Rock britannique, avec leur fougue et cet héritage un peu Grunge qui donnait tant de force à leurs premiers singles.
NOEL GALLAGHER’S HIGH FLYING BIRDS – Oui FM Festival, Place de la République – Paris, mardi 23 juin 2015
AURORA – La Boule Noire, Paris, mercredi 10 juin 2015
LENA DELUXE – Mirror For Heroes (2015)
Lena Deluxe est une jeune artiste qui nous vient du Nord de la France. Découverte aux Transmusicales 2010 puis au Printemps de Bourges 2011, elle resta trop longtemps une musicienne de l’ombre, celle de Brisa Roché notamment, par l’intermédiaire de laquelle elle a pu rencontrer le producteur New Yorkais Henry Hirsch (Mick Jagger, Lenny Kravitz…) avec qui elle a enregistré ce premier album.
TORRES – Le Carmen, Paris, mardi 2 juin 2015
VILLAGERS – Darling Arithmetic (2015)
Sur {Awayland} sorti en 2013, Villagers avait un peu pris son public à contrepied en incluant une bonne dose d’arrangements électroniques, et plus Rock aussi, dans ses compositions. Un virage admirablement réussi qui le voyait s’écarter un peu de ses racines Folk et qui lui avait valu un ‘Meteor Award’ (Victoire de la Musique Irlandaise) bien mérité.
FLORENCE + THE MACHINE – How Big, How Blue, How Beautiful (2015)
Le départ en fanfare de ‘Lungs’ en 2009 avait provoqué le succès aussi rapide qu’énorme de Florence Welch, à tel point que la suite (‘Ceremonials’) ne pouvait ni rivaliser avec son prédécesseur, ni satisfaire tout le monde. C’est un peu tout le dilemme lorsque l’on écoute sa musique, entre le plaisir assumé de savourer son chant et les doutes émanant de toute la mécanique mercantile qui accompagné sa montée en puissance.
