Il n’y a pas que Radiohead qui sort ses albums seul aujourd’hui sur internet. A un niveau bien plus modeste, mais avec autant de talent que d’indépendance, Amanda Palmer vient de sortir son nouvel opus via Bandcamp, enfin libérée de son label Roadrunner qu’elle supplia longtemps pour qu’ils la laissent partir.
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AMANDA PALMER – Who Killed Amanda Palmer (2008)
Amanda Palmer… Voilà un nom qui devrait réjouir pas mal de fans des Dresden Dolls ! Après avoir réussi le tour de force de créer un véritable mouvement, le ‘Brechtian punk cabaret’, avec son batteur Brian Viglione, la voici aujourd’hui lancée dans une aventure en solo, quelques mois à peine après la sortie de ‘No, Virginia’.
THE DRESDEN DOLLS – No, Virginia… (2008)
Il y a déjà deux ans que The Dresden Dolls nous a offert la suite de leur magnifique premier album éponyme. Un ‘Yes, Virginia’ qui provoqua des réactions plus contrastées que son prédécesseur, tant le duo avait placé la barre haut. Il était en effet difficile de recréer l’effet de surprise provoqué par leurs débuts.
THE DRESDEN DOLLS – A Is For Accident (2003)
En quatre années à peine, les Dresden Dolls ont su s’imposer comme l’un des groupes les plus originaux, avant-gardistes et excitants du moment. Si les deux albums du duo (l’éponyme ‘Dresden Dolls’ en 2004, puis ‘Yes Virginia’, sorti récemment) sont connus du grand public, ‘A Is For Accident’ fait presque figure d’œuvre secrète.
THE DRESDEN DOLLS – Yes, Virginia… (2006)
Ils avaient créé la surprise il y a bientôt deux ans avec un premier album haut en couleurs et très surprenant. Aujourd’hui les Dresden Dolls sont de retour et, nous ne ferons pas durer le suspense, le résultat est largement à la hauteur de nos attentes. On aurait pu craindre que le seul intérêt du duo fût justement cet effet de surprise, mais avec ‘Yes, Virginia’, leur talent n’est cette fois-ci plus à prouver.
THE DRESDEN DOLLS – The Dresden Dolls (2004)
The Dresden Dolls. Un groupe (contrairement aux apparences) originaire de Boston aux Etats-Unis. Alors que la scène indépendante outre-Atlantique aurait plus tendance à donner dans le rock à grosses guitares style émo, ce duo formé en 2001 par Amanda Palmer et Brian Viglione est arrivé tel un cheveu sur la soupe avec un concept musical détonnant : remettre au goût du jour, mais avec une attitude punk, le style cabaret allemand jadis florissant dans les années qui précédèrent la Seconde Guerre Mondiale.