Énorme révélation de l’année 2021, Arlo Parks était attendue au tournant à l’occasion de la sortie de son deuxième album. A la sortie de « Collapsed in Sunbeams » il y avait effectivement des signes qui ne trompent pas : un style, une voix, des textes et déjà beaucoup de personnalité.
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CAROLINE POLACHEK – Desire, I Want To Turn Into You (2023)
Nous n’irons pas jusqu’à vous dire qu’on a eu de flair, mais quand même, ça fait combien de temps qu’on fait l’éloge des talents de Caroline Polachek ? Depuis le single « Bruises » de Chairlift en 2008 ? Ou depuis notre interview du même groupe en 2012 et le single « Amanaemonesia » qui annonçait peut-être déjà la direction dans laquelle elle allait s’aventurer quelques années plus tard ?
HAIM – Women In Music Pt. III (2020)
Avec « Days Are Gone », leur premier album sorti en 2013, les trois sœurs Haim avaient fait souffler un vent de fraîcheur sur la Pop internationale. Avec son héritage 80’s qui allait autant puiser dans la Rock que le R&B, ce disque redonnait un nouvel espoir à un genre musical trop souvent malmené par son potentiel commercial. Autant dire que « Something To Tell You » aurait dû combler nos attentes quatre ans plus tard. Eh bien non, pas du tout. Subitement la magie s’était envolée.
VAMPIRE WEEKEND – Father of the Bride (2019)
Il y a tellement longtemps que l’en n’avait plus entendu parler de Vampire Weekend que l’on pouvait se demander si le groupe n'avait pas mis fin à ses activités, bien qu'il ne l'ait jamais officiellement annoncé. Et le départ de l’un de ses piliers, Rostam Batmanglij, qui avait sorti son album solo « Half-Light » en 2017 ne faisait que renforcer cette impression.
RAE MORRIS – Unguarded (2015)
HAIM – Days Are Gone (2013)
Ça fait des mois qu’on nous les présente comme la grande révélation de l’année : HAIM, un trio composé de trois soeurs originaires de Los Angeles. Et on doit vous avouer que pendant un bon moment on a vraiment cru avoir été volé sur la marchandise. Il faut dire que voir un groupe de ce genre tellement encensé par un magazine tel que le NME nous a plutôt mis sur une fausse piste. On s’attendait à quelque chose de plus Rock, ou en tout cas de moins 'grand public'...
THE BLOOD ARM – Lie Lover Lie (2006)
Découvert par Franz Ferdinand, qui les a vite pris sous son aile, notamment afin d’assurer leurs premières parties sur certaines tournées, The Blood Arm aura attendu quelques années avant d’enregistrer leur premier album, bien que le groupe se soit formé en 2002. Malgré une identité très britannique, tout à fait dans la lignée des nombreux ‘héritiers’ de Franz Ferdinand, The Blood Arm nous vient pourtant des Etats-Unis, de Los Angeles plus précisément.
WE ARE SCIENTISTS – With Love And Squalor (2006)
Moi j’aime beaucoup les chats. Alors serait-ce donc cette pochette qui aurait retenu mon attention ? Oui, mais pas seulement. Il faut remonter légèrement plus loin, en décembre 2005, lorsque le trio assura la première partie de Stars au Nouveau Casino. Un set fort sympathique qui, à défaut de m’avoir donné envie de me jeter sur l’album dès sa sortie, m’aura fait retenir ce nom, afin d’y prêter une oreille attentive.