Il y a des interviews plus fantasmées que d’autres, et certaines que l’on n’aurait jamais crues possibles. Slowdive faisait partie de celles-là. Presque un beau souvenir de jeunesse qui en serait probablement resté là si les cinq membres du groupe n’avaient eu la très bonne idée de se reformer en 2014. Cette renaissance atteint aujourd’hui son aboutissement avec la sortie d’un nouvel album éponyme, 22 ans après son prédécesseur. Et c’est Neil Halstead qui nous en parle.
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SLOWDIVE – Slowdive (2017)
22 ans ! Imaginez-vous ! Il aura fallu plus de deux décennies à Slowdive pour offrir un successeur au mal aimé « Pygmalion » sorti en 1995. Ils sont loin d’être le premier groupe à faire son comeback, mais c’est probablement l’un des rares envers lesquels on ne se pose pas de questions quant aux raisons de cette reformation. Malgré tout l’engouement que suscite aujourd’hui son retour, Slowdive n’était pas nécessairement de ces groupes à la mode qui tenaient le haut de l’affiche à l'époque, ou pas autant qu'on voudrait le faire croire aujourd'hui.
STEREOPHONICS – Word Gets Around (1997)
Les Stereophonics sont : Kelly Jones (Guitare/chant), Stuart Cable (Batterie) et Richard Jones (Basse). Après avoir formé un groupe nommé Zephyr (Kelly Jones avait alors 12 ans) puis s'être séparés, Kelly et Stuart se retrouvent et forment Tragic Love Company, d'après les noms de leurs groupes préférés, les Tragically Hip, Mother Loves Bones et Bad Company.