Heartworms est l’artiste à contre-courant de tout ce qui se fait actuellement. Et c’est sans doute pour ça qu’on l’aime. À des années lumières de la Pop sans ressembler pour autant aux groupes indépendants du moment, ni même aux plus Punk ou Post-Punk d'entre eux. La musique de Heartworms est ailleurs. Elle se décline en noir, en nuances de gris, dans une atmosphère sombre, hantée, oppressante, viscérale.
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Chroniques express #42 : Viji, Laura Misch, Bleach Lab, The Beaches, Coach Party…
GRIAN CHATTEN – Chaos For The Fly (2023)
Grian Chatten (Fontaines D.C.) annonce son premier album solo
Heartworms : noir c’est noir !
Dernière signataire en date du label Speedy Wunderground, la musicienne originaire du sud de Londres Heartworms dévoile le 24 mars son premier EP, "A Comforting Notion", dont l'atmosphère n'a pourtant rien de très réconfortant ! Produit par Dan Carey, producteur familier du genre (Fontaines D.C., Sinead O'Brien, Geese, Wet Leg...), ce premier disque aa de
Chroniques express #31 : Crack Cloud, Tallies, Maggie Rogers, Twen, Katy J Pearson…
La 31ème édition de nos chroniques express, avec le post-punk surprenant du collectif canadien Crack Cloud, la Dream Pop façon Sundays de Tallies, la 'super pop' imparable de Maggie Rogers, l'indie-rock léché du duo Twen, et le retour de Katy J Pearson qui s'aventure un peu plus loin sur un nouvel opus où folk et claviers font bon ménage...
SINEAD O’BRIEN – Time Bend and Break the Bower (2022)
Après une longue, très longue attente, le premier album de l’Irlandaise Sinead O’Brien arrive enfin, après plusieurs EPs qui avaient suscité beaucoup d’intérêt et de curiosité depuis trois ans. Il faut dire que Sinead O’Brien n’est pas franchement la chanteuse lambda que l’on entend tous les quatre matins.
FONTAINES D.C. – Skinty Fia (2022)
WET LEG – Wet Leg (2022)
Il suffit parfois d’une chanson pour devenir célèbre et attiser toutes les attentes. C’est ce qui est arrivé à Wet Leg avec le single « Chaise Longue » sorti l’an dernier. Et ce n’est en rien dû au hasard, tant cette chanson était maligne dans ses textes, fédératrice par son refrain, et surtout habilement clipée et réalisée par le duo. Leur usage maitrisé de l’image n’est certainement pas étranger à cette réussite non plus, mais il y a plus que cela.