Cette nouvelle édition de nos chroniques express place les autrices compositrices sous le feu des projecteurs, avec Nina Nesbitt que l'on redécouvre en folkeuse à l'univers intimiste, Molly Payton avec un album navigant entre Indie Folk et Rock 90s, beabadoobee qui part à l'assaut des charts britanniques, Hannah Frances et son Avant-Folk pastorale absolument captivante et enfin, pour mettre une dose de guitares plus nerveuse dans ce cocktail, le premier album de Deadletter, Post-Punk quand tu nous tiens...
Tag: Dirty Hit
Beabadoobee – Festival Rock en Seine – Domaine National de Saint Cloud – Jeudi 25 août 2022
Beabadoobee – « Talk »
L'icône de la génération Z beabadoobee annonce la sortie de son deuxième album studio, "Beatopia". Prévu pour le vendredi 15 juillet via Dirty Hit, "Beatopia" est un monde à la fois fantastique et profondément personnel qui s'est formé dans l'imagination de la petite beabadoobee de 7 ans et qui n'a jamais cessé de l'accompagner depuis.
WOLF ALICE – Blue Weekend (2021)
C’était écrit : Wolf Alice allait devenir le nouveau grand groupe de Rock que le Royaume-Uni attendait depuis longtemps. Ce n’est pas arrivé en un jour, mais dès leurs premiers morceaux tous les éléments étaient là pour leur prédire un avenir radieux. La presse spécialisée à laquelle ils survécurent (NME) ne s’y était pas trompée, et à vrai dire… nous non plus !
Wolf Alice de retour avec le clip de « Smile »
Beabadoobee dévoile l’inédit « Last Day On Earth »
BEABADOOBEE – Fake It Flowers (2020)
Précédé d’un véritable buzz, le premier album de Beabadoobee voit enfin le jour, après avoir laissé à sa musique suffisamment de temps pour arriver à maturité depuis deux ans. Pour la petite histoire, son premier single fut la toute première chanson qu'elle ait jamais écrite : le titre acoustique « Coffee », qui est devenu virale après l’avoir uploadé sur Soundcloud en 2017, avant d’enchaîner avec une cassette quatre pistes autoproduite et de signer sur le label Dirty Hit (Wolf Alice, Pale Waves, The 1975…).
Beabadoobee, une artiste qui en vaut la peine
PALE WAVES – Le Badaboum – Paris, mercredi 10 octobre 2018
Quelques semaine après la sortie de son album "My Mind Makes Noises", le groupe britannique Pale Waves partait à l'assaut du reste de l'Europe, fort du succès de son disque en ses terres. Même si sa renommé ne les pas encore précédés ici, ils n'ont pas hésité à mettre les moyens dans cette tournée, avec un jeu de lumières digne d'un concert de stade, assez étonnant dans une salle de la taille du Badaboum à Paris qui n'était pourtant qu'à moitié pleine.
PALE WAVES – My Mind Makes Noises (2018)
L’habit ne fait pas le moine… Cette expression pourrait particulièrement bien s’adapter à Pale Waves, tant le décalage entre leur image et leur musique semble grand. Avec son look gothique ce jeune groupe originaire de Manchester a tout d’un héritier direct de The Cure, et d’une certaine façon il l'est, mais dans ce cas il faut plus imaginer Robert Smith chantant « Friday I’m In Love » ou « Just Like Heaven » que « The Hanging Garden » ou « Faith ».