Retour en photos sur le concert de Florence + The Machine le mardi 22 décembre 2015 au Zénith de Paris!
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FLORENCE + THE MACHINE – How Big, How Blue, How Beautiful (2015)
Le départ en fanfare de ‘Lungs’ en 2009 avait provoqué le succès aussi rapide qu’énorme de Florence Welch, à tel point que la suite (‘Ceremonials’) ne pouvait ni rivaliser avec son prédécesseur, ni satisfaire tout le monde. C’est un peu tout le dilemme lorsque l’on écoute sa musique, entre le plaisir assumé de savourer son chant et les doutes émanant de toute la mécanique mercantile qui accompagné sa montée en puissance.
FLORENCE + THE MACHINE – MTV Unplugged (CD + DVD – 2012)
Je crois que l'un des commentaires que j’ai le plus souvent entendu de la part des détracteurs de Florence Welch a toujours été « sur scène elle ne chante pas, elle gueule ». C’est étrange quand même, cette chanteuse qui se fait une réputation justement grâce à sa voix mais qui se voit comparée à la Castafiore par ceux qui n’apprécient pas sa musique.
FLORENCE + THE MACHINE – Le Casino de Paris – mardi 27 mars 2012
FLORENCE + THE MACHINE – Ceremonials (2011)
Bon, les gens qui nous suivent depuis au moins deux ans savent déjà qu'on aime beaucoup Florence + The Machine sur Stars Are Underground depuis 'Lungs', notre coup de coeur de 2009 qui, avec du recul, tient toujours aussi bien la route à notre avis. Mais aimer Florence Welch, c'est aussi faire face à un dilemme : en France on ne l'a peut-être pas tellement ressenti, car après tout la diva British n'a pas caracolé en haut des charts ici, mais lorsque l'on prend conscience de tout le déploiement marketing qu'a entraîné un tel album
FLORENCE + THE MACHINE – Lungs (2009)
On a tendance à dire qu’il y a, à la fin de chaque siècle et de chaque décennie, un certain bouillonnement dans les milieux artistiques, comme si la fin du monde était proche et qu’il fallait à tout prix graver son œuvre dans les mémoires collectives. A vrai dire en ce qui concerne les années 2000, on commençait à s’inquiéter un peu.... Oh des bons disques il y en a eu, mais des chefs-d’œuvre, c’est un peu plus rare.