Dreampop, Shoegaze, Noise…appelez cela comme vous voudrez, si les étiquettes collent encore aujourd’hui à la peau des groupes, l’intérêt que l’on porte envers eux reste toujours le même. Dans le cas d’Asobi Seksu, je me suis senti presque ‘happé’ par ce nom étrange et cette musique noyée sous des effets et des murs de guitares dignes de My Bloody Valentine.