Le précédent album des Craftmen Club sorti en 2009 ne nous avait pas laissé un souvenir impérissable, surtout pour une question de style. En revanche sur scène c'est une autre histoire, la déferlante d'énergie de ces Bretons faisait plaisir à voir. Et c'est probablement pour cela qu'on ne les avait pas oubliés après toutes ces années, car on doit bien reconnaître que les influences un peu trop marquées de "Thirty-Six Minutes" - entre Noir Désir, Garage et Blues Rock un peu à la Sixteen Horsepower - ne nous avaient qu'assez peu séduits.