Bon, les gens qui nous suivent depuis au moins deux ans savent déjà qu'on aime beaucoup Florence + The Machine sur Stars Are Underground depuis 'Lungs', notre coup de coeur de 2009 qui, avec du recul, tient toujours aussi bien la route à notre avis. Mais aimer Florence Welch, c'est aussi faire face à un dilemme : en France on ne l'a peut-être pas tellement ressenti, car après tout la diva British n'a pas caracolé en haut des charts ici, mais lorsque l'on prend conscience de tout le déploiement marketing qu'a entraîné un tel album
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MY BRIGHTEST DIAMOND – All Things Will Unwind (2011)
On savait, avant même que ne sorte que cet album, que My Brightest Diamond n'est pas le genre d'artiste qui va nous offrir à chaque fois le même plat. Son précédent opus l'avait bien démontré, en allant puiser loin dans l'expérimentation mais aussi dans la complexité, puis tous les autres projets très variés auxquels elle a participé, dont l'album de Sarah Kirkland Snider l'an dernier, 'Penelope', où elle venait poser sa très belle voix sur un fond de musique classique.
SÓLEY – La Flèche d’Or – Paris, vendredi 9 septembre 2011
SÓLEY – We Sink (2011)
En lisant son prénom, on ne savait pas encore vraiment qui elle était. En revanche, en lisant son nom, on savait au moins d’où elle venait : Sóley Stefánsdóttir, « la fille de Stefan », est une chanteuse islandaise dont la carrière a plus été marquée pour le moment par sa participation au sein des groupes Seabear et Sin Fang. En solo, elle n’avait sorti à ce jour qu’un EP l’an dernier intitulé ‘Theater Island’, qui comprenait déjà des morceaux qui allaient faire partie de cet album.
DEVOTCHKA – 100 Lovers (2011)
On se demande bien pourquoi nous ne avons pas parlé de Devotchka jusqu'ici. Sans doute parce que nous avons raté les bonnes occasions, car cela fait maintenant un moment que l'on suit le parcours de ce quartet du Colorado. Pour nous la découverte ne s'est pas faite avec la BO de 'Little Miss Sunshine', mais à l'occasion d'une première partie des Dresden Dolls au Bataclan qui nous avait particulièrement marqués par son originalité.
THE DIVINE COMEDY – Bang Goes The Knighthood (Edition limitée 2 CDs – 2010)
Suite à son départ du label EMI, The Divine Comedy fête aujourd'hui son retour dans le monde des Indés (après Setanta, durant les années 90) pour un nouvel album qui allie une fois encore élégance et humour. Chez Neil Hannon, l'homme derrière l'appellation 'Divine Comedy', les albums se suivent et se ressemblent souvent, mais pas totalement. En fait ce que l'on apprécie vraiment , c'est sa longévité, son inspiration toujours intacte après 10 albums et pas loin de 20 ans de carrière.
DEAR READER – Replace Why With Funny (2009)
On s’en serait voulu de finir l’année 2009 sans vous parler de ce disque lumineux. Bon, on était passé un peu à côté à sa sortie en avril dernier, mais mieux vaut tard que jamais. C’est donc en tombant par hasard sur le titre ‘Dearheart’ que nos oreilles se sont tendues, nos poils se sont dressés, notre cœur s’est emballé, avant de se poser la question, « mais qui chante ça déjà ? ».
MY BRIGHTEST DIAMOND – A Thousand Shark’s Teeth (2008)
My Brightest Diamond. C’était un peu l’invitée surprise de la fin d’année 2006, dont on n’attendait justement plus vraiment de grosse surprise. En un premier album flamboyant, Shara Worden avait su marier et réconcilier les genres comme peu d’artistes l’avaient fait avant. Un disque qui mélangeait habilement rock – les comparaisons avec PJ Harvey n’ont pas tardé à montrer le bout de leur nez – Folk – le lyrisme d’une Joanna Newsom – et surtout Classique, sa formation initiale.
MY BRIGHTEST DIAMOND – Bring Me The Workhorse (2006)
On n’a pas souvent l’occasion de pouvoir écouter un album Indie Rock si lyrique, si classieux. My Brightest Diamond, c’est le ‘nom de groupe’ de Shara Worden, une artiste américaine au très large background musical, avec pour influence principale une formation classique qui donne ce ton si particulier à son premier album.
