Le meilleur de l'actualité Indie/Pop/Rock de mars 2025, avec Maya Delilah, Dead Gowns, Deep Sea Diver, Mei Semones, Anika, Lea Maria Fries, The Ophelias, Gloria, Iraina Mancini, Daughter of Swords, The Limiñanas, Claire days, Chloe Foy, Hannah Cohen, Esther Rose, Blondshell, Shannon Wright, Miki Berenyi Trio, La Flemme, girlpuppy, Miya Folick, Little Simz, Chloe Slater, I See Orange, Ezra Furman, Yves Jarvis, Horsegirl, Şatellites, Ada Oda, Yasmine Hamdan, Σtella, Gaye Su Akyol, Sharon Van Etten, Léonie Pernet, Fontaines D.C., Divorce, Pale Blue Eyes, Mamalarky, Bambara, chest., The Horrors, Th Da Freak, Cathedrale, FACS, Doves...
Tag: Little Simz
Chroniques express #36 : Little Simz, The Backseat Lovers , Ashe, Zella Day, Lonny…
Best of 2021 : Le Top de la rédaction
Si l'année 2020 nous avait vus nous réconcilier avec la Folk grâce à Reb Fountain, après s'être vautrés pendant deux ans dans le Post-Punk bien plus expéditif de The Murder Capital et de Shame, 2021 est une véritable révolution dans nos habitudes prises depuis 20 ans et même plus. En effet, pour la toute première fois, d'autres genres sont à l'honneur tout en haut de ce classement, et franchement, aucun disque ne nous a autant fait vibrer que la Pop teintée de Soul de Celeste.
La playlist d’octobre 2021
Le meilleur de l'actualité Indie / Folk / Rock du mois d'octobre 2021, avec Little Simz, Tasha, Radiohead, Snail Mail, Wet Leg, Eels, Johnny Marr, Bleach Lab, Thyla, Jarvis Cocker, Julie Doiron, Reb Fountain, Damon Albarn, Nicole Sabouné, Sylvie Kreusch, The Regrettes, The Dodos, Lisa Mitchell, Oasis, Adia Victoria, The Velveteers, Gustaf, Miles Kane, Bad Bad Hats, Eleni Drake, Bantam Lyons, Someone, Kit Sebastian, Le Ren...
LITTLE SIMZ – Sometimes I Might Be Introvert (2021)
En plus de 17 ans de chroniques depuis le lancement de Stars Are Underground, nous n’avions jamais chroniqué d’album de Rap. Pas un seul. Les seuls disques qui s’en rapprochaient – et encore, de loin – étaient les albums de The Go! Team et un peu de Gorillaz, d'Arlo Parks, de Connie Constance... C’est dire à quel point nous avons toujours été opaques au genre.