C’était écrit : Wolf Alice allait devenir le nouveau grand groupe de Rock que le Royaume-Uni attendait depuis longtemps. Ce n’est pas arrivé en un jour, mais dès leurs premiers morceaux tous les éléments étaient là pour leur prédire un avenir radieux. La presse spécialisée à laquelle ils survécurent (NME) ne s’y était pas trompée, et à vrai dire… nous non plus !
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ISAAC GRACIE : « Le but, c’est de créer de belles choses »
Singer songwriter romantique et habité, c'est ainsi que l'on pourrait un peu trop vite cataloguer Isaac Gracie. Mais c'est surtout un artiste talentueux et entier, pour qui les événements se sont succédés d'une façon qu'il n'avait pas anticipée. Presque deux ans après avoir sorti ses premières démos et suscité une vive attente, il a dévoilé en avril son premier album éponyme où l'émotion est reine. L’œuvre intime d'un artiste qui a su vite apprendre et évoluer. Il nous a raconté tout ce parcours à l'occasion d'un entretien avant son concert au Café de la Danse à Paris.
ISAAC GRACIE – Isaac Gracie (2018)
Cela fait maintenant déjà plus d'un an que nous suivons le parcours et l’évolution d’Isaac Gracie, jeune singer songwriter anglais de 22 ans qui nous avait littéralement envoûtés avec son titre « All In My Mind ». Il y en a eu beaucoup d’autres depuis, dans la même veine. L’élan poétique de ses compositions n’est pas vraiment une surprise pour cet étudiant en Littérature Anglaise et Ecriture Créative à l’Université d’East Anglia dont la mère, Judith Gracie, était justement poétesse.
ISAAC GRACIE – « Last Words »
Nous vous l'avions présenté il y a presque un an déjà, avec le vibrant "All In My Mind", depuis plusieurs singles et le très bon EP "The Death of You & I" sont venus confirmer ces bonnes impressions. Isaac Gracie, c'est le singer songwriter qui risque de faire pleurer dans les chaumières malgré l'arrivée du printemps avec son premier album éponyme qui arrive le 13 avril.
ISAAC GRACIE – « All In My Mind »
Il y a du Jeff Buckley dans la voix et la musique d'Isaac Gracie, un jeune artiste anglais de 22 ans pour qui la poésie n'est pas un vain mot, mais un univers dans lequel il a grandi. Fils de la poétesse Judith Gracie, Isaac a écrit ses premières chansons dès l'âge de 14 ans. Puisant son inspiration chez les Buckley, Radiohead, Leonard Cohen et Bob Dylan, il démontre rapidement un rare talent pour composer des mélodies bouleversantes que sa voix aiguisée vient habiter.
FLORENCE + THE MACHINE – How Big, How Blue, How Beautiful (2015)
Le départ en fanfare de ‘Lungs’ en 2009 avait provoqué le succès aussi rapide qu’énorme de Florence Welch, à tel point que la suite (‘Ceremonials’) ne pouvait ni rivaliser avec son prédécesseur, ni satisfaire tout le monde. C’est un peu tout le dilemme lorsque l’on écoute sa musique, entre le plaisir assumé de savourer son chant et les doutes émanant de toute la mécanique mercantile qui accompagné sa montée en puissance.
ARCADE FIRE – Reflektor (2013)
Avant même la sortie de Reflektor, on avait déjà entendu beaucoup de choses contradictoires sur Arcade Fire : génial, mauvais, ambitieux, vide… Il est tellement facile de taper sur un groupe ayant atteint un tel niveau de notoriété, et tout aussi simple de l’encenser aveuglément. Nous-mêmes n’avions pas été avares de critiques à la sortie de ‘The Suburbs’ il y trois ans, malgré une chronique globalement très positive.
ARCADE FIRE – The Suburbs (2010)
Enfin le voilà... Dire que le nouvel album d'Arcade Fire était très attendu est un euphémisme. Rarement un groupe n'aura suscité autant d'intérêt, et atteint le statut de 'culte' en l'espace de 2 albums seulement qui, il faut bien l'avouer, sont à la hauteur de leur réputation : la verve de 'Funeral' et la beauté solennelle de 'Neon Bible'. Deux réussites totales... Alors, Arcade Fire allait-il confirmer le bon vieil adage 'jamais deux sans trois'?
THE MACCABEES – Wall Of Arms (2009)
Parfois il vous suffit d’une pochette pour avoir envie d’écouter un disque. Ce fut le cas avec les Maccabees, dont l’artwork nous rappelait étrangement celui du légendaire ‘His ‘n’ Hers’ de Pulp. Sans même savoir qui ils étaient ou ce qu’ils jouaient, ce visuel nous a donné une irrésistible envie de les écouter. Et on n’allait pas être déçu…
COLDPLAY – Viva La Vida Or Death And All His Friends (2008)
Attention c'est du lourd !... A voir les étourdissants chiffres de ventes qui gonflent au fil des semaines (en à peine un mois on flirte avec les deux millions d’exemplaires vendus), on sait d’ores et déjà que le pari ‘commercial’ du nouveau Coldplay est amplement gagné. Mais qu’en est-il du pari artistique ? Les anglais vont-ils enfin faire taire leurs détracteurs, qui les critiquent principalement pour leur manque d’audace, d’originalité, les taxant d’opportunisme ?