Énorme révélation de l’année 2021, Arlo Parks était attendue au tournant à l’occasion de la sortie de son deuxième album. A la sortie de « Collapsed in Sunbeams » il y avait effectivement des signes qui ne trompent pas : un style, une voix, des textes et déjà beaucoup de personnalité.
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THE HORRORS – V (2017)
Le dernier album de The Horrors sorti en 2014 s’intitulait « Luminous » et, à juste titre, il était particulièrement lumineux. Une montée progressive vers la lumière entamée avec « Skying » en 2011 et sur laquelle le groupe de Southend-On-Sea maitrisait à merveille son art, parvenant à rendre Rock jadis si noir et psychédélique encore plus fédérateur sans vendre son âme.
THE HORRORS dévoilent un nouveau titre : « Machine »
The Horrors sortent aujourd'hui nouveau morceau, le premier depuis trois ans, intitulé "Machine". Ce titre a été enregistré à The Church Studios et produit par Paul Epworth, reconnu pour son travail avec FKA Twigs, London Grammar, Crystal Castles, The Rapture ou encore Adele. Baigné de sonorités industrielles ce titre reflète le talent et la particularité du groupe avec brio.
FLORENCE + THE MACHINE – How Big, How Blue, How Beautiful (2015)
Le départ en fanfare de ‘Lungs’ en 2009 avait provoqué le succès aussi rapide qu’énorme de Florence Welch, à tel point que la suite (‘Ceremonials’) ne pouvait ni rivaliser avec son prédécesseur, ni satisfaire tout le monde. C’est un peu tout le dilemme lorsque l’on écoute sa musique, entre le plaisir assumé de savourer son chant et les doutes émanant de toute la mécanique mercantile qui accompagné sa montée en puissance.
FLORENCE + THE MACHINE – Ceremonials (2011)
Bon, les gens qui nous suivent depuis au moins deux ans savent déjà qu'on aime beaucoup Florence + The Machine sur Stars Are Underground depuis 'Lungs', notre coup de coeur de 2009 qui, avec du recul, tient toujours aussi bien la route à notre avis. Mais aimer Florence Welch, c'est aussi faire face à un dilemme : en France on ne l'a peut-être pas tellement ressenti, car après tout la diva British n'a pas caracolé en haut des charts ici, mais lorsque l'on prend conscience de tout le déploiement marketing qu'a entraîné un tel album
FLORENCE + THE MACHINE – Lungs (2009)
On a tendance à dire qu’il y a, à la fin de chaque siècle et de chaque décennie, un certain bouillonnement dans les milieux artistiques, comme si la fin du monde était proche et qu’il fallait à tout prix graver son œuvre dans les mémoires collectives. A vrai dire en ce qui concerne les années 2000, on commençait à s’inquiéter un peu.... Oh des bons disques il y en a eu, mais des chefs-d’œuvre, c’est un peu plus rare.
BLOC PARTY – Intimacy (2008)
Suite logique. Souvenez-vous : 2006, un an seulement après la sortie de ‘Silent Alarm’, Bloc Party créait la polémique avec un second opus autant acclamé qu’haï. Pourquoi ? Parce que nos quatre jeunes porte-drapeaux du Rock Anglais avaient osé malmener les influences Post punk qu’on leur avait – trop vite – collées.
MAXÏMO PARK – A Certain Trigger (2005)
Parmi la masse de nouveaux groupes encensés par la critique anglo-saxonne il y a parfois de quoi se perdre. Et aussi de quoi douter du talent de telle ou telle formation, à chaque fois désignée comme nouveau talent-incontournable-groupe-de-l’année…Et c’est bien en plein milieu de tout ce remue-ménage que débarque Maximo Park. Originaire de Newcastle Upon Tyne, le groupe est composé de Tom English (batterie), Duncan Lloyd (guitares), Paul Smith (chant), Archis Tiku (basse) et Lukas Wooller (claviers).
BLOC PARTY – Silent Alarm (2005)
Le ‘revival eighties’, il a des semaines – des mois – que tout le monde a ce mot à la bouche. Au premier abord, il y avait de quoi s’inquiéter. Si, comme moi, vous êtes nés au milieu des années 70 et avez dû traverser le désert musical des années 80 avant d’en découvrir les pépites plus ou moins cachées sur le tard, à la fin de cette même décennie (The Cure, Joy Division), Bloc Party est là pour laver l’affront.