Attention, voici l'une des révélations Indie Rock britanniques de ce début d'année! Ca buzz déjà pas mal outre Manche, et le groupe fera sa première date parisienne le 18 février prochain à la flèche d'Or à Paris. Ici, point trop de Britpop, mais des guitares acérées qui évoquent bien plus les groupes alternatifs américains héritiers des Breeders ou de Veruca Salt.
Tag: Pays de Galles
MANIC STREET PREACHERS – Postcards From A Young Man (2010)
Bon an, mal an, on a toujours plutôt fait partie des défenseurs des Manic Street Preachers, malgré une carrière en dent de scie que l'on pouvait découper en deux parties bien distinctes, celle de l'avant Richey Edwards, disparu en 1995, un Rock tendu et revendicatif, et la suite beaucoup, beaucoup plus Pop et mélancolique, avec au programme beaux ratages et coups d'éclat.
MANIC STREET PREACHERS – Journal For Plague Lovers (2009)
Si l’on avait considéré le dernier album des Manic Street Preachers comme le sursaut d’orgueil d’une formation vieillissante, autant dire que l’on n’avait encore rien vu ! Back from the dead… On ne croit pas si bien dire, puisque la particularité de ce 9ème album studio, ce sont les textes écrits par Richey Edwards lui-même que le groupe avait conservé bien au chaud jusqu’à aujourd’hui, en attendant le bon moment pour les ressortir et leur faire honneur.
MANIC STREET PREACHERS – Send Away The Tigers (2007)
Qui l’eut cru? S’il y a un groupe que l’on n’attendait pas en 2007 – et plus depuis un bon moment d’ailleurs – ce sont bien les Manic Street Preachers. Ils auraient pu inscrire leur nom dans la légende, mais l’inspiration s’était tarie, et à force de faire de mauvais choix artistiques, enchaînant les albums inégaux, on avait perdu espoir en eux.
MANIC STREET PREACHERS – Lifeblood (2004)
Pour les vieux fans des Manic Street preachers, il y a bien longtemps que le groupe Gallois n’existe plus vraiment. Depuis la disparition de Richey Edwards il y a plus de 10 ans le groupe a traversé de nombreuses étapes, du meilleur (Everything Must Go) au pire (Know your Enemy) au Best Of en 2002 qui aurait pu être un signe d’adieu. Un groupe qui a perdu tant de sa rage que chaque nouvelle sortie est devenue une angoisse plus qu’une joie.
MANIC STREET PREACHERS – Everything Must Go (1996)
MANIC STREET PREACHERS – The Holy Bible (1994)
'The Holy Bible' est donc le son d'un groupe plongeant dans le chaos, abordant des sujets aussi joyeux que l'holocauste ("The Intense Humming Of Evil"), la prostitution ("Yes"), l'anorexie ("4st 7lb") et le désespoir en général (tout le reste). Tout cela écrit en grande partie par le guitariste Richey Edwards.
STEREOPHONICS – Word Gets Around (1997)
Les Stereophonics sont : Kelly Jones (Guitare/chant), Stuart Cable (Batterie) et Richard Jones (Basse). Après avoir formé un groupe nommé Zephyr (Kelly Jones avait alors 12 ans) puis s'être séparés, Kelly et Stuart se retrouvent et forment Tragic Love Company, d'après les noms de leurs groupes préférés, les Tragically Hip, Mother Loves Bones et Bad Company.