« Il n'y aura pas d'interruption ». Nous aurions pur le croire en regardant la date du dernier album « solo » d’Amanda Palmer : 2012 ! Et pourtant elle n’a pas pris son temps, ces dernières années ont été particulièrement bien remplies pour l’américaine qui a sorti un livre, tourné et sorti un album live avec son mari, l’écrivain Neil Gaiman, enregistré de nombreuses reprises hommages (à David Bowie, Dolores O’Riordan) en compagnie de Jherek Bischoff...
Tag: Punk Cabaret
AMANDA PALMER – La Cigale, Paris, mardi 9 juillet 2013
AMANDA PALMER – Interview – Paris, vendredi 19 octobre 2012
Voici une interview depuis longtemps fantasmée qui est enfin devenue réalité. Nous avions acclamé haut et fort son premier album solo, "Who Killed Amanda Palmer". Elle est aujourd'hui de retour avec un groupe, 'The Grand Theft Orchestra', et un nouveau disque plutôt différent, mais débordant toujours d'imagination, et surtout d'originalité, à l'image de son cette artiste haute en couleurs qui nous dit tout dans cette longue interview vidéo (à regarder de préférence en HD)… que vous pouvez aussi lire ci-dessous.
AMANDA PALMER – La Maroquinerie – Paris, vendredi 2 novembre 2012
AMANDA PALMER & THE GRAND THEFT ORCHESTRA – Theatre Is Evil (2012)
C'était probablement l'un des albums que nous attendions le plus cette année, car Amanda Palmer fait partie de ces rares artistes auxquels nous avons décerné notre "album de l'année" par le passé. Ca, c'était en 2008, avec 'Who Killed Amanda Palmer'. Mais malgré tout le bien que l'on en pensait, il eut été facile de lui reprocher de surfer sur la vague de son défunt groupe The Dresden Dolls.
AMANDA PALMER – Who Killed Amanda Palmer (2008)
Amanda Palmer… Voilà un nom qui devrait réjouir pas mal de fans des Dresden Dolls ! Après avoir réussi le tour de force de créer un véritable mouvement, le ‘Brechtian punk cabaret’, avec son batteur Brian Viglione, la voici aujourd’hui lancée dans une aventure en solo, quelques mois à peine après la sortie de ‘No, Virginia’.
THE DRESDEN DOLLS – No, Virginia… (2008)
Il y a déjà deux ans que The Dresden Dolls nous a offert la suite de leur magnifique premier album éponyme. Un ‘Yes, Virginia’ qui provoqua des réactions plus contrastées que son prédécesseur, tant le duo avait placé la barre haut. Il était en effet difficile de recréer l’effet de surprise provoqué par leurs débuts.
THE DRESDEN DOLLS – A Is For Accident (2003)
En quatre années à peine, les Dresden Dolls ont su s’imposer comme l’un des groupes les plus originaux, avant-gardistes et excitants du moment. Si les deux albums du duo (l’éponyme ‘Dresden Dolls’ en 2004, puis ‘Yes Virginia’, sorti récemment) sont connus du grand public, ‘A Is For Accident’ fait presque figure d’œuvre secrète.
THE DRESDEN DOLLS – Yes, Virginia… (2006)
Ils avaient créé la surprise il y a bientôt deux ans avec un premier album haut en couleurs et très surprenant. Aujourd’hui les Dresden Dolls sont de retour et, nous ne ferons pas durer le suspense, le résultat est largement à la hauteur de nos attentes. On aurait pu craindre que le seul intérêt du duo fût justement cet effet de surprise, mais avec ‘Yes, Virginia’, leur talent n’est cette fois-ci plus à prouver.
THE DRESDEN DOLLS – The Dresden Dolls (2004)
The Dresden Dolls. Un groupe (contrairement aux apparences) originaire de Boston aux Etats-Unis. Alors que la scène indépendante outre-Atlantique aurait plus tendance à donner dans le rock à grosses guitares style émo, ce duo formé en 2001 par Amanda Palmer et Brian Viglione est arrivé tel un cheveu sur la soupe avec un concept musical détonnant : remettre au goût du jour, mais avec une attitude punk, le style cabaret allemand jadis florissant dans les années qui précédèrent la Seconde Guerre Mondiale.