On vous avait prévenu. Après avoir redonné ses lettres de noblesse à la Britpop avec un premier album terriblement catchy et enjoué, les Long Blondes ne comptaient pas pour autant en rester là et se contenter de nous présenter un nouveau ‘Someone To Drive You Home’. Bien au contraire, pas mal de choses ont changé, au fil des ans le groupe a su évoluer suffisamment pour aller découvrir de nouveaux horizons musicaux, avant de devenir prisonnier de ses premier tubes.
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THE LONG BLONDES – Interview – Paris, jeudi 6 mars 2008
Le nouvel album des Long Blondes intitulé "Coulples" sortira le 7 avril prochain. A une semaine de ce retour tant attendu, nous vous invitons à découvrir les dessous de cet étonnant nouvel opus sur lequel le groupe de Sheffield n'hésite pas à se mettre en danger et se libérer des clichés de la Britpop. Propos recueillis auprès de Kate Jackson, chanteuse du groupe.
BASIA BULAT – Oh, My Darling (2007)
THE LONG BLONDES – Someone To Drive You Home (2006)
A tous les nostalgiques de la Britpop, à tous ceux qui auraient pu croire qu’elle était morte depuis belle lurette, ou pire, à ceux qui ne l’auraient jamais connue : réveillez-vous ! Vous voulez du style, du rythme, et surtout des tubes à n’en plus finir ?... Les Long Blondes sont là pour donner un sacré coup de fouet à la morosité ambiante !
JARVIS COCKER – Jarvis (2006)
Il y a déjà 5 ans, Pulp tirait sa révérence avec ‘We Love Life’, un album qui sentait effectivement la fin d’une épopée. Le groupe ne s’est jamais officiellement séparé, mais après presque 20 ans passés au service de son groupe, on pouvait imaginer combien Jarvis pouvait avoir besoin d’un break. Et puis il y a eu le mariage, la paternité, l’exil à Paris…
LOW – The Great Destroyer (2005)
Low est un groupe américain originaire de Duluth, dans le Minnesota (à la frontière du Canada). Un trio qui a déjà pas mal vécu. Formé en 1994 par Alan Sparhawk (guitare/chant), sa femme Mimi Parker (batterie/chant) et de Zak Sally (basse, claviers), Low a d’abord surfé à sa manière sur la vague du shoegazing en nous offrant une musique saturée mais calme et poétique, qualifiée à l’époque de ‘slow-core’. Onze ans et sept albums plus tard, le groupe, l’un des rares survivants de ces années 90, est toujours là.