Avouons-le, on connaissait assez mal Sébastien Schuller jusqu’ici. Oh bien sûr la découverte de ‘Happiness’ en 2005 ne nous avait pas laissés indifférents, mais l’occasion de le chroniquer – et de le réécouter – ne s’était pas représentée. C’est donc avec autant plus de plaisir que l’on rattrape aujourd’hui le temps perdu avec ce disque pour lequel il aura fallu attendre 4 longues années.