Blood Red Shoes est un duo originaire de Brighton, au Royaume-Uni. Eh oui, ça ne s’arrête jamais, un groupe anglais de plus. Mais le plus étonnant c’est que la plupart du temps ces jeunes pousses savent d’emblée nous pondre des tubes étonnants et c'est encore une fois le cas. Composé d’une fille (Laura-Mary Carter / guitare / chant) et d’un garçon (Steven Ansell – batterie / chant) on pourrait les voir venir de loin, ces probables enfants des Kills qui jouent sur l’intensité de leurs prestations dont nous avons été témoins en mai dernier, en première partie de Maxïmo Park.
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BABET – Drôle D’Oiseau (2007) (Edition Limitée – Inclus CD Bonus)
Nous l’avions vue en novembre dernier, juste pour quelques chansons, seule avec sa guitare, entre deux artistes du festival des Inrocks à la Cigale. Juste le temps de se rendre compte que Babet savait faire de jolies chansons. Mais à l'époque cette petite apparition ne nous laissait pas encore présager combien l’album en préparation allait dépasser le simple exercice en solo, une aventure que nombre d’artistes tentent à un moment ou à un autre avec plus ou moins de réussite.
DEUS – Pocket Revolution (2005)
Il aura fallu près de 6 ans aux dieux du rock belge pour de sortir de leur silence. Six longues années pendant lesquelles on aurait pu en toute légitimité croire que le groupe n’était plus. Tom Barman s’était écarté de sa carrière musicale afin de se consacrer, entre autres, à son film ‘Anyway The Wind Blows’. De plus, le groupe a toujours connu de nombreux changements parmi ses membres, sans pour autant perdre son identité.
BLOC PARTY – Silent Alarm (2005)
Le ‘revival eighties’, il a des semaines – des mois – que tout le monde a ce mot à la bouche. Au premier abord, il y avait de quoi s’inquiéter. Si, comme moi, vous êtes nés au milieu des années 70 et avez dû traverser le désert musical des années 80 avant d’en découvrir les pépites plus ou moins cachées sur le tard, à la fin de cette même décennie (The Cure, Joy Division), Bloc Party est là pour laver l’affront.
STEREOPHONICS – Word Gets Around (1997)
Les Stereophonics sont : Kelly Jones (Guitare/chant), Stuart Cable (Batterie) et Richard Jones (Basse). Après avoir formé un groupe nommé Zephyr (Kelly Jones avait alors 12 ans) puis s'être séparés, Kelly et Stuart se retrouvent et forment Tragic Love Company, d'après les noms de leurs groupes préférés, les Tragically Hip, Mother Loves Bones et Bad Company.